Pour nous suivre:            

Transformation du bois

Transformation du bois
industrie du bois

Industrie du bois et poussières: que faut-il savoir?

Copeaux, sciures, poussières fines, vous savez comme nous que la transformation du bois génère une quantité impressionnante de particules. Là où il y a de la poussière, il y a des risques… et des normes! En fonction de vos procédés, plusieurs facteurs sont à considérer :

  • Quel type de poussières sont générées? Le bois dur (comme le bouleau, le peuplier faux-tremble et l’érable), crée des particules plus fines que le bois mou (comme l’épinette, le pin ou le cèdre).
  • Des composantes dangereuses entrent-elles en jeu dans votre usine? (Scier, percer ou usiner un panneau de MDF, par exemple, expose les travailleurs à de très fines poussières et au Formaldéhyde, un ingrédient cancérigène présent dans la résine).
  • Y a-t-il un risque de déflagration liée à la nature des particules présentes dans votre usine?
sécurité des travailleurs

Transformation du bois: la sécurité des travailleurs avant tout

Que vous opériez une usine de transformation du bois, de granules ou un atelier de menuiserie, votre dépoussiéreur est votre meilleur allié. S’il est adapté aux besoins spécifiques de votre entreprise, il peut vous aider à protéger vos travailleurs. Saviez-vous que plusieurs essences de bois contiennent des composés actifs biologiquement? La respiration de leurs poussières peut, à court et à long terme, entraîner :

  • Des irritations aux yeux, au nez et à la gorge;
  • Des réactions allergiques aggravées;
  • Des maladies respiratoires, comme l’asthme professionnel;
  • Des cancers des cavités nasales – surtout lorsque la poussière provient de bois dur.
sécurité des travailleurs
dépoussiéreur cyclone pour la trasnformation du bois

Comment minimiser les risques en matière d’incendie et d’explosion?

Dans l’industrie forestière et l’industrie du bois, les déflagrations sont toujours un risque. La nature combustible des poussières générées par chaque étape des procédés de transformation rend le respect de la norme NFPA-664 primordial. Nos experts connaissent ce standard dans ses moindres détails, et peuvent donc vous aider à mettre en place des dispositifs de sécurité réduisant les risques et les conséquences d’un accident. Si une déflagration devait se produire, les mécanismes de contrôle en place protégeraient donc vos installations et votre main-d’œuvre.

dépoussiéreur à manches filtrantes avec effet cyclonique

Quel est le meilleur dépoussiéreur pour le bois?

Aménager et concevoir un système de collecte des poussières pour l’industrie de la transformation du bois comporte son lot d’enjeux. Un dépoussiéreur-cyclone, par exemple, peut être utilisé pour filtrer les particules avant leur acheminement au système principal. On recommande aussi généralement d’utiliser un système de collecte de poussières avec des filtres à cartouche ou à sac filtrant. Dans d’autres cas, un dépoussiéreur à secouage est aussi envisageable – c’est notamment le cas pour plusieurs ateliers d’écoles techniques ou professionnelles.

Selon nous, le meilleur dépoussiéreur est celui qui répond parfaitement à vos besoins, et qui vous permet de réaliser des économies. Nos experts peuvent vous suggérer des options durables, pensées pour minimiser les arrêts de production, les réparations et la consommation énergétique. Voici un aperçu de ce que nous pouvons vous offrir :

  • Solutions novatrices ayant une excellente durée de vie, comme notre système gérant les volumes variables.
  • Solutions intégrées pour récupérer l’énergie utilisée par vos systèmes de séchage, de préséchage, vos chaudières à la vapeur et autres appareils.
  • Équipements approuvés par la norme ATEX pour éviter les incidents.
  • Équipe composée d’ingénieurs et de spécialistes à votre disposition pour les pannes et la maintenance préventive.
dépoussiéreur à manches filtrantes avec effet cyclonique

Pharmaceutique

Pharmaceutique

Pharmaceutical dusts and plants create a unique obstacle for pollution control. Often the dust produced by these chemicals is toxic in one form and thus cannot be inhaled or ingested by the workers.

Simple process like bag dumping and handling require larger capture velocities to ensure capture and filtration equipment usually utilizing BAG IN- BAG OUT arrangements to avoid cross contamination.

Pill forming, mixing , batch dumping and ribbon blenders are some of the utilization for source capture of these pharmaceutical dusts.

Equipment also may require fire and explosivity protection depending on composition.

Les fabricants de produits pharmaceutiques emploient de bonnes pratiques de fabrication (BPF) afin de s’assurer que les médicaments et les drogues sont de source sûre, ne présentent pas de risques pour la santé et ont démontré leur efficacité selon l’utilisation prévue. Dans le but de contrôler la croissance et la prolifération des microorganismes aériens ou bioaérosols, utiliser des filtres HEPA et si nécessaire des filtres ULPA dans l’aménagement des systèmes CVAC et des salles blanches.

Bonnes pratiques de fabrication (BPF)

Dans l’industrie pharmaceutique, le contrôle des contaminants aéroportés est à la fois une exigence et un défi. Tout comme le secteur agroalimentaire, la fabrication de produits pharmaceutiques doit répondre à des critères élevés en matière d’hygiène et de qualité de l’air.

Les bonnes pratiques de fabrication (BPF) définissent les protocoles adoptés par les entreprises pour fabriquer, emballer et distribuer les médicaments et les drogues afin de s’assurer qu’ils sont de source sûre, ne présentent pas de risques pour la santé et ont démontré leur efficacité selon l’utilisation prévue. L’usage des BPF est fortement encouragé, voire exigé au Canada, aux États-Unis, dans plusieurs pays au sein de l’Union européenne (UE) et dans un bon nombre de compagnies pharmaceutiques internationales.

Contrôle des bioaérosols – Salles blanches

L’aménagement et le design des systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVAC) dans le cadre des BPF doivent prendre en considération plusieurs paramètres, à savoir la température, l’humidité, la pression, la capacité de rétention des filtres, les caractéristiques du flux d’air et la classification des salles blanches selon les dispositions de la norme ISO 14644.

Les systèmes CVAC doivent être en mesure de contrôler les particules, les poussières et les microorganismes aériens (ou bioaérosols) par un usage approprié de filtres à particules aériennes à haute efficacité HEPA et, si nécessaire, en se servant des filtres à particules aériennes nanométriques ULPA. Les pressions, l’humidité relative et les températures des salles doivent être ajustées de façon continue pour empêcher la croissance et la prolifération des microorganismes sur les travailleurs.

L’apport d’air frais dans les immeubles de bureaux et les édifices commerciaux exige un renouvellement d’air au rythme de 2 à 10 fois par heure. Il en est tout autre pour les salles blanches : celles-ci ont besoin d’au moins 50 et parfois jusqu’à 500 changements d’air par heure, selon les circonstances, afin de diluer et graduellement réduire la contamination aéroportée à des concentrations acceptables.

Systèmes CVAC – Contamination croisée des produits – Risques biologiques

Système CVAC à « passage unique » ou à recirculation d’air partielle

Peut être envisagé s’il y a un risque potentiel de contamination croisée des produits (par un autre produit, ou par un contaminant interne et externe). Les unités de confinement ou les caissons de type « Bag-In / Bag-Out » comportent des accès de côté pour les filtres HEPA ou les unités d’absorption afin de permettre la sortie des filtres contaminés. Des sacs en polychlorure de vinyle (PVC) sont utilisés pour créer une barrière étanche entre le personnel d’entretien et les filtres contaminés, et ainsi éviter tout contact direct avec des agents potentiellement nocifs pour la santé du personnel.

La fabrication de comprimés (pilules) est tout indiquée pour l’utilisation de ce type de système CVAC, en particulier pour la compression des poudres d’ingrédients actifs à l’aide d’excipients, pour l’enrobage des comprimés, pour les contrôles à l’inspection et pour l’empaquetage des comprimés.

Les hottes d’évacuation et les enceintes de sécurité biologique dans les laboratoires comptent elles aussi parmi les activités à risque. Par ailleurs, en biotechnologie, des agents pharmaceutiques et des enzymes industriels fabriqués à partir d’organismes / végétaux génétiquement modifiés peuvent à court ou à long terme représenter un risque potentiel pour la santé des personnes.

Système CVAC à recirculation d’air

Exige un fort volume d’air pour maintenir un flux d’air unidirectionnel et propre. Il est bien adapté pour la fabrication de produits pharmaceutiques en milieu stérile; c’est-à-dire, dans des conditions qui favorisent un flux d’air laminaire, une faible concentration en bioaérosols et un retour d’air d’une propreté sans failles.

Système à volume constant avec réchaud en position terminale

Cette solution annexé à réseau de distribution d'air (Constant volume system with terminal reheat, CVRH) peut répondre à plusieurs situations en milieu pharmaceutique. Avec ce type de système, nous exerçons toujours un contrôle sur l’humidité, car la déshumidification se fait au serpentin de refroidissement (ou pompe à chaleur). Chacune des zones possède son propre thermostat et un serpentin de réchaud (ou radiateur électrique) pour répondre aux demandes ponctuelles selon le degré d’occupation et d’orientation solaire des pièces. Le flux d’air est constant ce qui facilite l’équilibrage des pressions différentielles et la régulation du système. Pour ces raisons, un système avec des unités terminales est facile à comprendre et les ajustements peuvent être faits rapidement pour obtenir des plages de fonctionnement optimales.

Minimiser les risques en matière d’incendie et d’explosion

Des contaminants aéroportés en milieu pharmaceutique, selon leur composition chimique, peuvent être combustibles et, selon les circonstances, peuvent déclencher une explosion.

Afin de minimiser les risques en matière d’incendie dans les laboratoires, prévoir l’aménagement des systèmes de protection incendie à faible teneur en eau / mousse ou des systèmes à poudre chimique sèche avec des provisions pour décontaminer les excès recueillis dans un bassin de rétention selon les dispositions de la norme NFPA 45.

Pâte et papier

Pâte et papier

This tricky application has been proven to work very with low air to cloth AIREX cartridge collectors in paper scrap applications, where horizontal cartridge collectors have failed because of fibrous dust and strands bridging between the cartridges. It is customized to accommodate the fibrous nature of dust. The advantage of a Vertical Cartridge over its horizontal counterpart is immediately apparent and is one few companies can handle.

Industry Operations

  • Industrial paper shredders
  • Corrugated box scraps
  • Printing facilities
  • Paper dust
  • Paper trim

Parmi les activités qui engendrent des poussières de papiers fins, de papiers sanitaires et de cartons, il y a d’abord les différents types de procédés d’impression pour les livres, les journaux et les magazines; auxquels s’ajoutent les activités de recyclage et de déchiquetage du papier / carton, les centres de tri automatisés pour courrier et les salles d’imprimantes dans les immeubles de bureaux; ils sont tous à divers degrés des sources potentielles de contaminants aéroportés. Prévoir des systèmes d’aspiration locale (SAL) adaptés à chaque procédé avec une attention particulière portée aux particules combustibles en papier.

Procédés / sources de contamination et dangers potentiels

Composition des matériaux – Méthodes de fabrication

La fabrication de différents types de papier répond aux multiples besoins domestiques et institutionnels, mais engendre poussières et contaminants aéroportés. Parmi ceux-ci, nous retrouvons les poussières de papiers fins (à usages graphiques), de papiers sanitaires (tels que papiers hygiéniques, papiers toilette, essuie-mains, papiers essuie-tout, papiers-mouchoirs et serviettes de table) et de cartons (plats, ondulés ou en format caisse). Ces poussières varient selon la taille des particules, leur composition chimique et les méthodes employées pour générer des poussières que nous pouvons identifier comme des sources possibles.

Par exemple, les photocopieurs et les imprimantes laser peuvent dégager des poussières ultrafines (ou poussières nanométriques). De fait, l’encre en poudre (toner) se disperse dans l’air ambiant des bureaux et reste suspendue pendant plusieurs minutes avant de se déposer de nouveau sur les surfaces de travail : à ce titre, il constitue un agent potentiellement nocif pour la qualité de l’air intérieur (QAI).

Une bonne compréhension des procédés de fabrication est l’élément clé pour bien cibler les différentes sources mises à contribution. Ces efforts visent à promouvoir le développement de nouveaux outils et de revoir les méthodes en usage afin de réduire le nombre et la taille des sources, et les nuages de poussière engendrés par ces processus.

Nuages d’aérocontaminants – Surfaces chargées de poussières

Les systèmes d’aspiration locale (SAL) doivent être adaptés aux différents procédés; c’est-à-dire aménager les puits, les hottes et les conduits de captage pour recouvrir l’aire de transformation du papier dans les salles d’impression, dans les ateliers de recyclage et de déchiquetage, dans les centres de tri automatisés pour courrier, etc.; maintenir la vitesse nécessaire au flux d’air pour bien aspirer l’air chargé de contaminants, sinon les appareils n’arrivent pas à évacuer l’air vicié à temps.

Par ailleurs, certains travailleurs utilisent le jet d’air comprimé pour déloger les poussières accumulées sur leurs vêtements, sur les surfaces ou sur les pièces de travail; les poussières ainsi projetées en l’air restent en suspension et ne font qu’aggraver la situation. D’autres situations aussi occasionnent des problèmes, à savoir l’empilage des produits ensachés sur des surfaces déjà chargées de poussières. Ces activités contaminent non pas seulement les vêtements des travailleurs, mais engendrent des panaches de poussières. Toutes ces situations démontrent la nécessité de mieux comprendre les procédés qui engendrent des poussières de papiers fins, de papiers sanitaires et de cartons, et de la manière dont elles sont dispersées dans le milieu environnant.

Risques pour la santé / sécurité

La respiration des poussières de papiers fins, de papiers sanitaires et de cartons (plats, ondulés ou en format caisse) pose problème; une exposition à répétition ou de manière prolongée est néfaste – à court et à long terme – pour la santé des travailleurs. Des symptômes respiratoires et des réactions allergiques font partie des maladies (conditions) décelées chez les personnes exposées; si celles-ci ne reçoivent pas les soins appropriés, les symptômes peuvent s’aggraver au point de conduire à un asthme lié au travail et à d’autres maladies pulmonaires.

Méthodes de prévention

Limites d’exposition

Des limites d’exposition en milieu de travail (LEMT) en matière de poussières acceptables ou admissibles ont été établies par réglementation fédérale canadienne et par le RSST au Québec : la cellulose qui est la composante principale du papier affiche une LEMT à 10 mg/m3 poussières inhalables (ou inspirables). Dans le même esprit, l'administration américaine de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) et la réglementation COSHH (UK) ont fixé des limites d’exposition pour les poussières respirables (ou alvéolaires) et inhalables; des limites d’exposition n’ont toutefois pas été établies ni pour les poussières de papiers fins, ni pour celles de papiers sanitaires (ou papiers hygiéniques).  

L’IRSST (au Québec), l'Institut national pour la santé et la sécurité au travail (NIOSH) aux États-Unis et les centres de recherche affiliés en Angleterre, en France et en Allemagne coordonnent leurs efforts ensemble pour promouvoir la santé et la sécurité des travailleurs dans l’industrie.

En Angleterre, la norme HSG 258 propose une ligne de conduite pour les fournisseurs / usagers afin de cibler les sources d’exposition aux contaminants; elle fournit une trousse d’outils pour choisir les systèmes d’aspiration locale (SAL) les mieux adaptés selon les circonstances, pour s’assurer que ceux-ci répondent adéquatement à la tâche et qu’au fil du temps ils continuent de démontrer leur efficacité.

Minimiser les risques en matière d’incendie et d’explosion

Les poussières de papiers fins (à usages graphiques), de papiers sanitaires (tels que papiers hygiéniques, papiers toilette, essuie-mains, papiers essuie-tout, papiers-mouchoirs et serviettes de table) et de cartons (plats, ondulés ou en format caisse) sont combustibles et, selon les circonstances, elles peuvent être à l’origine d’une explosion. L’élément déclencheur peut être une étincelle, une décharge d’électricité statique, un frottement (ou une friction) entre deux matières en mouvement ou encore le contact avec des matières incandescentes. Habituellement, le souffle de la première explosion déplace les poussières combustibles accumulées sur les surfaces et les charpentes, et les projette dans un nuage de poussière aux dimensions imprévisibles et plus étendues, bien souvent en dehors du voisinage immédiat des opérations. Ce nuage, en contact avec d’autres sources de chaleur ou de feu, déclenche à son tour une seconde explosion et parfois une boule de feu aux conséquences dévastatrices.

Afin de minimiser les risques en matière d’incendie et d’explosion, et pour éviter des pertes en vies humaines ou en biens matériels, prévoir installer des équipements de prévention incendie, à savoir des extincteurs automatiques ou gicleurs, et des évents de déflagration dans l’aménagement et le design des systèmes de captage, de transport et de collecte des poussières. Ceci sera fait selon les exigences de la directive ATEX 2014/34/EU du parlement européen, de la norme HAZLOC (en Amérique du Nord) et de la norme NFPA 664.

Aménagement et design du système de collecte des poussières

Des ajouts ou des accessoires supplémentaires peuvent améliorer la sécurité et la fiabilité des systèmes de collecte des poussières.

Dans le recyclage et le déchiquetage du papier /carton, il est préférable d’utiliser des cartouches verticales à faible indice air / tissu au lieu des cartouches horizontales dans les dépoussiéreurs afin d’éviter l’engorgement, voire l’obstruction des espaces entre les cartouches avec une surcharge de poussières / filaments.

Utiliser un dépoussiéreur-cyclone pour filtrer les particules de plus grande taille ou s’en servir comme préfiltre en amont d’un dépoussiéreur à cartouche qui doit passer des quantités importantes de particules de taille différente. Dans l’industrie de la transformation du papier, plusieurs fabricants et ateliers auraient avantage à posséder un système de collecte de poussières avec des filtres à cartouche, adapté selon leurs besoins.

Entrez en relation

Pour toutes requêtes ou questions, veuillez nous contacter par téléphone ou en remplissant le formulaire ci-dessous.

Sans frais: +1-800-263-2303

Invalid Input

Please type your Company name.

Invalid Input

Invalid Input

Invalid Input

please type password